Le retour du DC3

Avant de reprendre mes exercices de navigation VFR, je souhaite me confronter de nouveau au DC3 après le cuisant échec de la Corse.
Pour l'occasion, je télécharge la texture Marine Nationale pour la version d'origine. Elle est disponible sur Simviation, entre autre.
Je reste pour l'instant sur l'aéroport de Carcassonne Salvaza LFMK où je vais pouvoir tester les nouvelles textures de la version Beta 7 du pack Occitania.

Le DC3 de la Marine Nationale au parking.

Pour cette séance de prise en main, je me contenterai d'un circuit avec touch'n go et d'un atterrissage complet au deuxième tour. Sans oublier bien sûr le déroulé complet des check-lists depuis le démarrage à froid jusqu'à la sécurisation de l'engin.
Une fois le moteur en route et les vérifications effectuées, je roule jusqu'au seuil de la piste 28 actuellement en service.

Au roulage sur fond de coucher de soleil.

J'effectue les derniers contrôles avant de demander l'autorisation de décollage pour des tours de pistes. Je l'obtiens pour un circuit main droite.
Mes caps seront donc successivement de 280° pour la montée initiale, 10° pour l'étape de vent travers, 100° pour la vent arrière et 190° pour l'étape de base et à nouveau 280° pour la finale. J'effectuerai ce circuit à 1000 pieds QFE.
Cette fois, j'ai réussi l'ensemble des opérations de la check-list sans problèmes. Je peux donc m'élancer et prendre l'air victorieusement.
Seul point noir: le vent est assez violent et ça tabasse pas mal une fois en l'air. J'ai au début, vraiment du mal à maîtriser mon appareil. Celui-ci est assez lourd comparé à ceux avec lesquels je vole d'ordinaire. Son inertie rend les manœuvres lentes et demande un dosage assez précis sous peine de sur-compenser.
Mais je parviens finalement à me faire à ces contrôles.

En vent arrière avec, en fond la citadelle.

Encore une prise du coucher de soleil.

La ville et la citadelle.

En approche pour le premier touch'n go.

Après un premier tour assez scabreux, je m'élance pour un deuxième qui aboutira sur un poser complet.

A l'atterrissage, la nuit tombante.

Au roulage avant de s'immobiliser.

 Et voilà qui conclut un vol bref qui m'aura permis de prendre ma revanche sur cet appareil que je peux maintenant ajouter fièrement à mon hangar.