Sunday, October 23, 2011

PHASE IV (suite) : Aproche du VFR

Après ces quelques vols autour de la base du Luc - Le Cannet des Maures LFMC, il est temps de reprendre la route. Mes prochains vols m’emmèneront à la découverte du Sud-Oouest de la France.
Cette partie du pays est couverte par une scène gratuite: Occitania. Elle est disponible sur le site dédié en version beta 6-4. Je profiterai donc des prochains vols pour découvrir cette scène.
L'autre but de cette phase de vol sera également de découvrir le VFR tel qu'il est pratiqué en réel: à base d'azimuts, de temps de vol et de repères au sol.
Pour cette première étape, je me dirigerai vers l'aéroport de Carcassonne Salvaza LFMK où j'avais effectué un stage d'initiation au pilotage d'une semaine chez "Jeunesse Aviation" en 2002 en réel cette fois.

Hasard malheureux du calendrier, j'apprends ce jour le décès de Denis Roger le vendredi 21 octobre.  Il y a d'étranges concours de circonstances: c'est justement vendredi que j'ai effectué ce vol alors que je l'ignorais complètement. Et c'est suite à ce vol que j'ai effectué des recherches sur internet sur "Jeunesse aviation" où j'avais pu pour la première fois toucher du doigt un rêve. Une semaine dont je me souviendrai toujours...
C'est une grande figure de l'aéronautique française qui nous a quitté et je présente à toute sa famille et ses proches mes plus sincères condoléances.

Pour ce vol, je reprend le Pilatus PC6 de l'ALAT dans sa livrée verte.
En ce qui concerne le plan de vol, j'utilise toujours Navigation de François Fouchet pour la planification. Je divise ce vol en quatre étapes:
  • Première étape: cap au 273° pour 20,5 NM avec pour point de repère le château de Tourves. Je pars sur une vitesse de vol de 110 nœuds soit un temps de vol d'environ 11 minutes. C'est volontairement que je ne tiens pas compte du vent, d'abord parce que je ne maîtrise pas les relevés météos sous FSX et Navigation mais également afin de ne pas trop compliquer cette préparation. Ce sera de plus un excellent moyen de constater concrètement l'effet du vent sur le vol. En outre, il est peu probable que ce château soit modélisé et il me faudra effectuer mon virage en me fiant uniquement à la boussole et au chronomètre comme à l'ancienne.
  • Deuxième étape: cap au 245° pour 28,1 NM avec pour point de repère le cap de la Croisette et un temps de vol estimé à 15 minutes. Cette fois le point de repère est suffisamment évident pour pouvoir corriger ma position a ce stade. Car il peut probable que je tombe dessus du premier coup.
  • Troisième étape: une très longue transversale au dessus de la méditerranée et au large de Marseille. Cap au 270° pour 91,5 NM avec pour point de repère l'embouchure de l'Aude et un temps de vol estimé à 50 minutes. La encore, la topographie de la côte me permettra de corriger ma position à l'issue de cette étape.
  • Quatrième étape: Toujours sur le même cap pour 40,7 NM ce qui devrait m’amener à destination au bout de 22 minutes.
Concernant l'altitude de croisière, je volerai à 4500 pieds. 4000 car, m'orientant vers l'ouest, il me faut une altitude paire à laquelle j'ajoute 500 pieds car je suis en VFR.
Si jamais vous avez des corrections ou commentaires à apporter, vous êtes toujours  les bienvenus!

Je suis bien conscient que cette navigation est très approximative mais elle me permet d'aborder simplement le sujet. De toute façon j'ai toujours le GPS comme filet de sécurité. Oui, je sais, ce n'est pas bien...
Voilà pour la théorie, place à la pratique.

Je ne reviens pas sur la phase de démarrage de l'appareil ni du décollage, je me contenterai de deux petites photos pour dire au revoir au Luc - Le Cannet des Maures LFMC:
Une dernière fois aligné sur la piste...
... et c'est reparti.

 Comme prévu, je mets cap au 273° pendant 11 minutes puis j'effectue un virage au 245°. Je ne vois pas le château à la verticale duquel je devais virer mais cela ne me surprend pas. Il est peu probable que je sois là où je l'avais prévu et de toute façon, il y a encore moins de chance qu'il ait été modélisé.
Navigation sur fond de coucher de soleil
Un petit coup d’œil à mon GPS me montre de suite que si je suis cet azimut, je n'arriverai pas au dessus du cap de la Croisette mais plus à l'Est. Je vais donc devoir corriger a trajectoire. L'explication me paraît simple: j'ai pris du retard sur mon plan de vol après le décollage le temps de gagner l'altitude de croisière et j'ai donc viré trop tôt.
Étrangement, et par pur hasard, j'arrive finalement au dessus de mon point de passage exactement dans les temps prévus initialement.
Je mets donc cap au 270° pour longer la côte et passer au large de Marseille.
Marseille
Au large de Marseille
Au fur et à mesure de ma progression l'effet du vent sur ma trajectoire devient flagrant: l'écart entre mon cap (en rouge) et ma route vraie (en vert) est mis en évidence sur le tracé GPS. C'est interressant de pouvoir le constater concrètement ainsi.

Effet du vent sur la trajectoire

Autre problème, le soleil est maintenant couché et je vais bientôt sortir des conditions de vol VFR. Tant pis, c'est un avantage de la simulation que de pouvoir sortir des clous sans risquer les foudres de la gendarmerie de l'air.
A la nuit tombante au dessus de la méditerranée.
Finalement, j'arrive sur la côte bien plus au sud que prévu mais là encore, la conformation du terrain me permet rapidement de me repérer. Je longe donc la côte vers le nord afin de retrouver l'embouchure de l'Aude d'où je reprend ma route au 270° vers l'aéroport de Carcassonne.
A la nuit vient s'ajouter la présence de nuages entre lesquels il me faut slalomer pour atteindre ma destination. Mais, au moins, cela fait de belles photos.

Entre les nuages.
Finalement, après 2 heures de vol dans des conditions nouvelles et difficiles, je me pose sur l'aéroport de Carcassone Salvaza LFMK. Cette séance d'approche du vol VFR m'aura permis de découvrir la navigation à vue. Pour les prochains vols, je planifierai des navigations plus courtes avec des plans de vols plus  détaillés. Grâce à Occitania, je vais pouvoir travailler la navigation à vue en utilisant les détails de la scène. De longues heures de travail en perspective donc...

Et pour finir, la projection Google Earth de mon vol:

Monday, October 17, 2011

Escapade inter-armées

Je mets de côté le Pilatus pour une journée consacrée à un appareil rétro que je viens de récupérer : le Nord 3400 de Restauravia sorti récemment. Encore un add-on de très grande qualité en freeware disponible sur Restauravia.
Pour cette séance, je retiens la texture de la Gendarmerie Nationale, histoire de mettre un peu de couleur dans mes vols et de faire un peu d'inter-armées.
En ce qui concerne les check-lists, je garderai celles fournies avec car elles semblent tout à fait authentiques. Je regrette tout de même l'absence de celle relative à l'arrêt du moteur et à l'immobilisation de l'appareil.

A noter que cet avion nécessite d'avoir préalablement installé le Nord 3202 de la même équipe et disponible au même endroit qui méritera lui aussi un détour.

Enfin, en ce qui concerne le vol, je réaliserai un tour de piste avec un touch'n go suivi d'un exercice de virage à forte incidence et d'une série de décrochages à plat. Rien de particulier donc à signaler à ce sujet.

Voici les quelques photos de ce très bel add-on:

D'abord au parking avant la mise en route:


On remarquera les portes ouvertes



 Puis en vol:




En final au Luc

Voilà donc un petit vol dont le seul but aura été d'exposer et de tester cet appareil.

Friday, October 14, 2011

MILITARISATION : Faire ses gammes (2)

Nouveau vol d'entrainement à bord du Pilatus PC6 autour de l'aérodrome de Le Luc - Le Cannet-des-Maures LFMC aujourd'hui.
Mais cette fois, on change de couleur. Je passe au vert armée grâce à une magnifique texture de Pépé Pompero dit "l'homme qui repeint plus vite que son ombre". Cette texture ALAT étant celle du détachement auprès du matériel de l'Armée de Terre. En voilà tout de suite quelques aperçus:

Au parking avant le démarrage

Toujours au parking
Au roulage

Cette séance est consacrée comme hier aux tours de pistes mais on y ajoutera également un exercice de virages à forte inclinaison ainsi que des décrochages à plat. Là encore, trop de choses à faire pendant le vol pour pouvoir prendre des photos en même temps mais le principal n'est pas là.

Ces exercices me permettent de m'améliorer tant dans mon pilotage que dans mes connaissances théoriques du vol.

Petite précision concernant la question d'hier au sujet des altitudes du circuit d'aéroport: celui-ci se trouvant à 300 pieds du niveau de la mer, j'en conclus que la deuxième altitude entre parenthèses (1000 pieds) est donnée pour un calage QFE (c'est à dire par rapport au niveau du sol). Il s'agit donc d'une hauteur et non d'une altitude.
Comme, avant de faire mes tours de piste, je règle toujours mon altimètre sur l'altitude de l'aéroport, je ferai bien mon circuit à une hauteur de 1000 pieds et donc une altitude de 1300 pieds.

Je passerai sur les tours de pistes déjà abordés hier pour me consacrer aux deux autres exercices.

Afin de les réaliser en toute sécurité, je grimpe à 3000 pieds et je m'éloigne du circuit d'aéroport.
Le premier exercice consiste à mettre l'appareil en virage à 60° et à effectuer ainsi un tour complet sans varier d'altitude ni de vitesse. Lors de cet exercice, l'usage du palonnier est impératif. Il faut bien penser à mettre du pied afin de chasser la bille et la maintenir au centre de l'indicateur de virage. Et pas possible de piloter "aux fesses" dans un simulateur. Enfin, il s'agit de ressortir du virage sur le même cap qu'en entrée.
L'exercice est plus difficile qu'on le pense et méritera de s'y replonger ultérieurement.

Le second exercice est bien plus simple. On vole à plat et on coupe les gaz tout en maintenant l'appareil à son altitude. Au fur et à mesure qu'il perd de la vitesse, on est forcé de mettre de plus en plus d'incidence, jusqu'à finalement décrocher. Cet exercice est très simple et permet de prendre en main son appareil. Il perd cependant de l'intérêt en simulateur, les sensations dans le manche n'étant pas là. Attention toutefois à la perte d'altitude à chaque répétition de la manœuvre.

Je termine ce récit par quelques screenshots afin de profiter une fois de plus des remarquables travaux de modélisation de la base du Luc, du Pilatus et de sa texture. Un immense merci à tous les auteurs qui nous prouvent qu'il est possible de trouver des add-ons de qualité en freeware.




Thursday, October 13, 2011

MILITARISATION : Faire ses gammes

Ce soir je remonte à bord de mon Pilatus PC6 pour quelques tours de piste sur l'aérodrome du Luc - Le Cannet-des-Maures LFMC. Cette fois je vais tenter d'exécuter proprement cet exercice dans le respect des règles. Pour cela, je ressors mes vieux cours et je consulte surtout la carte VAC sur le site du Service d'information aéronautique. Les cartes qui y figurent sont les vraies et c'est l'occasion pour moi d'apprendre à les lire correctement.
La piste en service est la piste 31 et contrairement à ce qu'indique la carte VAC, la tour m'ordonne un circuit main droite. Les caps respectifs à suivre seront donc 310° puis 040° pour la vent travers, 130° pour la vent arrière et 220° pour la base. Je ferai le circuit à 1000 pieds.
Sur la VAC, la mention 1300 figure sur le circuit avec 1000 entre parenthèses en dessous. Est-ce que quelqu'un pourrait m'éclairer là dessus?
Le but sera donc de maintenir caps et vitesses dans des marges tolérables autour de ces valeurs tout en suivant les check-lists. Autant dire que l'exercice est difficile et ne laissera pas beaucoup de temps pour prendre des photos.

Pour la première fois, je roule avec cet engin à turbine: la puissance est impressionnante.
Premier roulage en PC6
Une fois la piste remontée, je m'aligne, déroule ma check-list pré-décollage et pousse enfin la manette des gaz à fond. Je lâche les freins et c'est parti!
Je suis immédiatement surpris par la vitesse à laquelle le PC6 décolle. J'ai l'impression d'avoir à peine commencé à rouler que les ailes accrochent l'air. Le temps de lever la roulette de queue et le train principal quitte le sol. La check-list indique de soulager la roulette de queue à 25 nœuds, puis une vitesse de décision V1 à 45 nœuds et enfin une vitesse de rotation Vr de 50 nœuds. L'angle préconisé se situe ente 10° et 15°. Une fois la vitesse ascensionnelle acquise (~950 fpm) , je presse les freins une fois afin d'arrêter la rotation du train d'atterrissage.
La vitesse d’ascension est donnée à  80 nœuds pour un couple de torque de 40 Psi. Une fois à 500 pieds, je rentre les volets.
Arrivé à 1000 pieds, je vire à droite au 40 pour l'étape de vent travers. La j'exécute la check-list de vol de croisière et je stabilise mon appareil à 1000 pieds pour une vitesse de 117 nœuds. Je vire alors au 130 pour l'étape de vent arrière. Une fois le seuil de piste dans mes 4-5 heures, je vire à nouveau à droite au 220 pour l'étape de base. Je réduis alors ma vitesse à 90 nœuds et sors un cran de volets. Puis je vire au 310 pour me retrouver en finale où je réduis d'abord ma vitesse à 80 nœuds pour sortir le deuxième cran de volets. C'est alors la courte finale où je réduis les gaz pour atterrir à 60 nœuds.
Je fais mon arrondi et je touche la piste plutôt en douceur puis je remets les gaz pour un second tour. Et voila, mon premier circuit d'aéroport est fait.
Je fais ainsi deux tours complets ce touch'n go et un atterrissage complet pour finir.
Bien que je ne me sois pas écrasé, je dois bien reconnaître que le tout est loin d'être propre. J'arrive à avoir des caps et des vitesses proches de celles demandées mais j'ai encore du mal à piloter l'engin tout en me battant avec les interrupteurs du cockpit au bon moment. Mon pilotage est brouillon.
Mes approches surtout sont trop courtes et nécessites des corrections de dernière minute plutôt dangereuses.
Je suis malgré tout content de cette séance car j'ai beaucoup appris et j'ai surtout repéré les points à améliorer tant sur la théorie que sur le pilotage même.

Après l'atterrissage, je roule vers mon parking.
roulage au parking
J'immobilise enfin l'appareil. Je l'arrête en suivant la procédure et voilà, c'est fini.
Au parking

MILITARISATION: 1e Partie

L'occasion était trop belle et il aurait été dommage d'être sur la base école de l'ALAT et de ne pas en profiter pour changer d'appareil. Mais non, je ne vais pas encore passer sur voilure tournante. Après quelques recherches, je porte mon dévolue sur un Pilatus PC6. En particulier sur celui de Tim "Piglet" Conrad disponible sur Simviation dont la réalisation est remarquable. Ajouté à ça la texture Armée de Terre par René Spaan trouvée sur le même site et le tour est joué.
Certe, les PC6 de l'ALAT ne sont pas au Luc et les modèles ne sont pas les mêmes mais le clin d'oeil est là.
Enfin, je récupère comme toujours la check-list sur  Flight Simulator Check Lists

Et voici quelques photos de la bête:


 Et de l'intérieur:
Le cockpit virtuel

Vue de la place arrière
Bon bah maintenant ne reste plus qu'à le démarrer... et la partie est plus compliquée qu'elle en a l'air. Tout d'abord le départ à froid tel que sauvegardé pose problème. Pour je ne sais quelle raison, la turbine refuse de dépasser les 15% et n'entraine pas l'hélice. Après quelques recherches, je décide de ruser. Je lance un vol avec un autre avion, le démarre et repasse sur le PC6. Là, j'éteins l'appareil en suivant la check-list et je sauvegarde comme vol par défaut. Alors, je déroule la check-list de démarrage et cette fois ça marche.

J'en conclus qu'un paramètre provenant de la sauvegarde précédente n'était pas bon. Dans le même registre, suivant les conseils avisés de "Daube", il faut faire attention à ce que le réglage de la richesse soit au maximum même si ce paramètre n'est pas réglable pour le Pilatus.

Cette fois l'appareil est en marche et je vais bientôt pouvoir le tester en vol sur quelques tours de piste.

Une dernière question pour la route: quel est cet interrupteur et à quoi sert-il? Il est estampillé "inverter", j'en conclus qu'il inverse quelque chose mais quoi?

le bouton mystère

Tuesday, October 11, 2011

PHASE IV: Départ de Corse

Et voilà, après plusieurs semaines d'interruption, reprise aujourd'hui des vols avec une petite navigation à bord de mon bon vieux Beech BE58 afin de se refaire la main. Je décide de laisser de côté le DC3 pour l'instant.
Cette fois c'est la bonne: je quitte le territoire Corse. Ma destination du jour est la base aérienne de Le Luc - Le Cannet-des-Maures où se trouve l'EAALAT (Ecole d'Application de l'Aviation Légère de l'Armée de Terre).
J'ai choisi cette destination car j'ai trouvé un site francophone sur le thème des forces aériennes françaises French Air Force sur lequel se trouve de nombreuses ressources en téléchargement gratuit parmi lesquelles figure la base aérienne Le Luc - Le Cannet-des-Maures LFMC par Jacques BOLLARD et Bernard JUNIOT téléchargeable ici. Cette étape marquera le début d'une série de vols orientés plutôt aviation militaire.

Je reprend rapidement en main l'appareil et les check-lists déroulent sans problèmes. Je roule vers la piste, attend l'autorisation de décollage puis je m'aligne et décolle une dernière fois de l'île de beauté.
La navigation est très simple puisque je n'ai qu'une seule balise VOR à suivre qui m'amènera directement en vue de la base aérienne. Je suis la radiale 308 et mon altitude de croisière est de 5500 pieds.
Dernier survol de la Corse

L'île s'éloigne parmi les cumulus
Alors que la Corse s'éloigne dans mon dos, je survole la méditerranée pour arriver très rapidement en vue des côtes. Le survol de la mer ne présente pas d'intérêt majeur aussi je ne m'y attarderai pas.
Le continent est en vue
Une fois au dessus de la terre, je prend contact avec la base aérienne pour obtenir mon autorisation d'atterrissage. C'est pratique la simulation: on a tous les droits...
Coup de chance, la piste en service est la 31 ce qui me permet d'effectuer une approche directe. Je me pose et quitte immédiatement la piste afin de visiter un peu la zone militaire et profiter du décors. (cf. la remarque précédente)
Je vous laisse constater par vous même sur les photos ci-dessous la qualité de la scène ainsi que le soucis du détail de son créateur.
Les PUMAS

Des GAZELLES au parking


Une GAZELLE au ravitaillement

Encore des GAZELLES

Un système de défense Sol-Air, notez les TIGRES en arrière plan

Arrivée sur la zone de parking de l'aviation générale

Le parking aviation général
N.B.: NE PAS essayer de garer son avion DANS le hangar...

Et pour finir, la trace de la navigation sous Google Earth toujours grâce au loiciel Navigation de FouFou