Wednesday, February 15, 2012

Vers de nouveaux horizons...

Puisque ma prochaine destination sera assez éloignée, il est temps de rechercher un nouvel appareil capable de me faire effectuer des vols plus longs. Mon premier essai aura été le Beechcraft King Air 350 natif de FSX.
Afin de l'essayer, j'ai effectué quelques tours de piste avec en utilisant les checklists de Werner Schott dont j'ai déjà fait mention sur ce blog.

Le cockpit virtuel

Au parking

Au décollage
Au premier abord, la différence de pilotage avec tous les avions que j'ai essayé précédemment est saisissante. Tout se passe beaucoup plus lentement, avec plus d'inertie. Mais c'est un pilotage très agréable au final.

Toutefois, cet appareil présente quelques défauts mineurs dont son cockpit virtuel. Celui-ci n'est pas très joli ni très pratique, certains interrupteurs étant inaccessibles.
J'ai donc téléchargé le Beechcraft King Air 300 de Allied FS Group disponible sur Simviation depuis la fermeture du site du groupe. Cet avion, bien que développé à l'origine pour FS2004 fonctionne parfaitement sous FSX.

Et la différence avec le natif est flagrante: le cockpit virtuel est vraiment bien fait, il et entièrement interactif et bien plus pratique. Même la gestion de la climatisation de la cabine et des passagers est présente.

Le cockpit virtuel de jour

Le cockpit virtuel de nuit
Il reste cependant quelques bugs mineurs. Il est par exemple impossible de cacher la commande du pilote pour accéder au tableau se trouvant derrière. De même, aucun interrupteur ne permet d'acquitter les voyants d'alarme.

Le modèle 3D est également bien plus détaillé. Au parking, il possède des cales et des obturateurs sur les entrées et sorties d'air:
Au parking, immobilisé.

On peut même visiter l'arrière de l'appareil:
Remarquez la modélisation de l'intérieur.
J'ai donc également effectué deux tours de piste avec cet appareil de grande qualité.
Du fait du détail de la modélisation, les check-lists sont elles-aussi bien plus fournies et il m'a fallu plusieurs essais avant de pouvoir le mettre en route et parvenir à le décoller.

A noter que pour mettre en marche les interrupteurs d'allumage/démarrage, il faut cliquer deux fois rapidement dessus jusqu'à ce que le voyant témoin vert reste allumé en continue. Lorsque je ne cliquais qu'une seule fois, le démarreur n'arrêtais pas d'osciller rendant impossible le démarrage.

Au seuil de la piste 23.

Nouveau décollage.

En vol, avec le pont de Normandie en arrière plan.

Lors de mes prochains vols, je pense bien continuer à l'exploiter un peu car il montre vraiment un effort de la part de ses développeurs.

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