En raison d'un voyage (réel cette fois), ce Blog sera en pause pendant deux semaines environ.
Au retour, je reprendrai mon tour de Corse avec, en plus, le tracé de mes vols. En effet, après avoir téléchargé l'excellent Navigation de François Fouchet et le nécessaire FIUIPC, je suis en mesure de faire un relevé en temps réel de mes vols virtuels.
Ces installations ne sont pas très simples mais le résultat est formidable. Pour en revenir à Navigation, je vous recommande chaudement ce logiciel développé par un particulier depuis plus de 10 ans.
A bientôt donc...
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Monday, August 22, 2011
PHASE III : La baie d'Ajaccio
Comme convenu hier, j'effetcu un rapide vol au dessus d'Ajaccio en ULM afin de mieux contempler les détails de la scène. Si les textures au sol sont tout à fait réalistes, il ne semble pas y avoir de bâtiments de modélisés en particulier. Cela n'empêche pas un rendu global très agréable à survoller.
A noter que depuis est sortie une nouvelle version HD de cette scène sur France VFR.
Voilà qui clos un très court vol avant de reprendre les airs pour la suite de mon tour de la Corse
A noter que depuis est sortie une nouvelle version HD de cette scène sur France VFR.
Ajaccio et sa baie depuis l'ULM |
Au sujet des check-lists du Beech BE58
Celles trouvées sur http://freechecklists.net/simchecklists.asp ont été produites par Werner Schott. En les déroulant, j'ai constaté qu'il manquait, dans la liste pré-décollage les tests des magnétos, des moteurs et de la richesse. Après avoir posé la question sur plusieurs forums, il semble que ce soit bien un oubli de l'auteur. J'ai envoyé un mail à ce dernier dans l'attente d'une réponse.
Saturday, August 20, 2011
PHASE III : Tour de Corse deuxième étape
L'étape d'aujourd'hui m'emmène de Calvi Sainte Catherine (LFKC) à Ajaccio Napoléon Bonaparte (LFKJ), l'aéroport d'Ajaccio en suivant la côte. Je vole à bord du BE58 afin de tester les nouvelles check-lists trouvées.
Un premier point m'interpelle immédiatement à ce sujet : dans la check-list pré-décollage, ne figurent pas les tests de pas d'hélice, des magnétos et de la richesse. Est-ce qu'elles sont absentes des vraies check-lists ou bien est-ce un oubli de l'auteur de celles-ci? Un avis extérieur serait le bienvenu...
Toujours est-il qu'elles sont quand même plus complètes que celles de FSX d'origine.
Je décolle donc en fin d'après midi, espérant profiter d'un magnifique coucher de soleil sur la Méditerranée. Je longe le bord de mer en passant devant le golf de Porto et la magnifique plage de Piana. Malheureusement, ceux-ci ne sont pas spécialement modélisés une fois de plus et je dois me contenter des textures du sol. Celles-ci sont toutefois plus que correctes et très réalistes.
Finalement, j'arrive assez rapidement en vue d'Ajaccio où je ne manque pas de prendre l'indispensable photo du coucher de soleil sur la mer.
Puis je m'insère dans le circuit de l'aéroport de Campo Dell'Oro en vent arrière main droite comme me l'indique la tour de contrôle. Une dernière jolie photo en courte finale et c'est déjà la fin de ce vol.
Une dernière remarque, et pas des moindres, je constate en me rapprochant du sol que celui-ci est de plus en plus fourni en bâtiments. Le manque de détail dont je me plaignais est probablement dû à la distance à laquelle sont chargés les décors dans le simulateur avec mes réglages. Il faut dire que je ne vole pas vraiment sur une bête de course mais sur mon portable... En tout cas, je referai comme ce matin un petit tour en ULM sur Ajaccio afin de vérifier tout ça.
Un premier point m'interpelle immédiatement à ce sujet : dans la check-list pré-décollage, ne figurent pas les tests de pas d'hélice, des magnétos et de la richesse. Est-ce qu'elles sont absentes des vraies check-lists ou bien est-ce un oubli de l'auteur de celles-ci? Un avis extérieur serait le bienvenu...
Toujours est-il qu'elles sont quand même plus complètes que celles de FSX d'origine.
Je décolle donc en fin d'après midi, espérant profiter d'un magnifique coucher de soleil sur la Méditerranée. Je longe le bord de mer en passant devant le golf de Porto et la magnifique plage de Piana. Malheureusement, ceux-ci ne sont pas spécialement modélisés une fois de plus et je dois me contenter des textures du sol. Celles-ci sont toutefois plus que correctes et très réalistes.
Vue de la côte Ouest de la Corse |
Coucher de soleil sur la mer (un peu en avance) |
Une dernière remarque, et pas des moindres, je constate en me rapprochant du sol que celui-ci est de plus en plus fourni en bâtiments. Le manque de détail dont je me plaignais est probablement dû à la distance à laquelle sont chargés les décors dans le simulateur avec mes réglages. Il faut dire que je ne vole pas vraiment sur une bête de course mais sur mon portable... En tout cas, je referai comme ce matin un petit tour en ULM sur Ajaccio afin de vérifier tout ça.
Libellés :
Beechcraft BE58,
Corse,
LFKC,
LFKJ
Pays/territoire :
Aéroport d'Ajaccio - Campo Dell'oro (AJA), 20090 Ajaccio, France
PHASE III : La baie de Calvi
Suite au vol d'hier, j'effectue un survol de la baie de Calvi afin de visiter un peu. J'emprunte un ULM local, cela devrait suffire.
Je décolle et mets directement le cap sur la citadelle. Mes craintes de la veille étaient bien fondées: celle-ci n'est pas modélisée. Tant pis...
Sur le retour, je fais un petit détour au-dessus de la caserne du 2ème REP par curiosité. Bien que non modélisée spécifiquement, la scène est toutefois suffisamment photo-réaliste pour que l'on puisse la reconnaître.
Voila qui clos un vol très court. Rien de particulier à cet endroit de la scène. Je poursuis donc mon tour de Corse.
A noter cependant, que je viens de trouver un site contenant beaucoup de check-lists du même format que celles téléchargées précédemment : Flight Simulator Checklists
Je récupère donc celle du BE58 afin de parfaire ma connaissance de mon précédent compagnon de voyage.
L'aéroport de Calvi après le décollage |
Sur le retour, je fais un petit détour au-dessus de la caserne du 2ème REP par curiosité. Bien que non modélisée spécifiquement, la scène est toutefois suffisamment photo-réaliste pour que l'on puisse la reconnaître.
Survol du 2ème REP |
A noter cependant, que je viens de trouver un site contenant beaucoup de check-lists du même format que celles téléchargées précédemment : Flight Simulator Checklists
Je récupère donc celle du BE58 afin de parfaire ma connaissance de mon précédent compagnon de voyage.
Pays/territoire :
Aéroport de Calvi - Sainte-Catherine (CLY), 20260 Calvi, France
Friday, August 19, 2011
PHASE III : Tour de Corse première étape
C'est ce soir que je pars pour mon tour de la Corse virtuel. La première étape m'emmènera de Bastia Poretta (LFKB) à Calvi Sainte Catherine (LFKC).
Connaissant parfaitement la région, la navigation ne pose aucun problème. Je prévois de contourner le Cap Corse par le Nord puis de longer le désert des Agriates avant d'arriver à Calvi.
Comme prévu, je pars à bord d'un Cessna C172 afin de tester les nouvelles check-lists téléchargées. Celles-ci sont bien plus détaillées que celles d'origine.
Cette fois j'ajuste mon emport de carburant en fonction de ce que le navigateur m'a calculé. Je charge donc 10 Gallons de kérosène.
Ce que je regretterai tout le vol... En effet, cette quantité déclenche l'avertisseur de niveau de carburant sur le cockpit et je voyagerai avec mes deux aiguilles proches de la ligne rouge en permanence. Heureusement les calculs étaient bons et je ne tomberai pas en panne.
Je décolle donc sur la piste 34, et mets directement le cap au Nord. Je suis assez déçu de la modélisation de Bastia et de son port qui sont très sommaires. Je ne m'attarde donc pas pour admirer le paysage
.
Arrivé à la base du cap, je coupe un peu sur l'itinéraire afin de garder une marge de sécurité en carburant. Je passe au large de Saint Florent, peut être aurais-je dû aller survoler sa marina pour admirer les yacht. Malheureusement, je doute fort que la modélisation soit à la hauteur et de toute façon, mon ordinateur ne me permet pas de mettre beaucoup de trafic. Tant pis...
Je passe donc le long du désert des Agriates et ses plages de sable fin. Rien de particulier à signaler quand à la modélisation là non plus. De toute façon la météo n'est pas de la partie et je dois me maintenir en dessous des 3000 pieds pour ne pas être dans les nuages.
J'arrive enfin en vue de Calvi. La tour m'annonce une arrivée en étape de Base main gauche sur la piste 18. C'est parfait, c'est exactement par là que j'arrive.
Je suis là encore très déçu de la modélisation de la baie de Calvi. Je ne vois d'ailleurs même pas la citadelle. Peut être devrais-je me rapprocher un peu afin de vérifier. Mais cela n'entre pas dans mon plan de vol et j'ai déjà demandé l'autorisation d'atterrissage. J'emprunterai un engin ultra léger demain pour en faire le tour quand même.
Une fois posé sur l'aéroport j'ai encore la mauvaise surprise de découvrir que le taxi menant au parking se limite à un simple bout de macadam s'achevant dans l'herbe.
En conclusion, je suis assez déçu de ce premier vol et de la scène Corse pour l'instant. Mais le tour ne fait que commencer...
Connaissant parfaitement la région, la navigation ne pose aucun problème. Je prévois de contourner le Cap Corse par le Nord puis de longer le désert des Agriates avant d'arriver à Calvi.
Comme prévu, je pars à bord d'un Cessna C172 afin de tester les nouvelles check-lists téléchargées. Celles-ci sont bien plus détaillées que celles d'origine.
Cette fois j'ajuste mon emport de carburant en fonction de ce que le navigateur m'a calculé. Je charge donc 10 Gallons de kérosène.
Ce que je regretterai tout le vol... En effet, cette quantité déclenche l'avertisseur de niveau de carburant sur le cockpit et je voyagerai avec mes deux aiguilles proches de la ligne rouge en permanence. Heureusement les calculs étaient bons et je ne tomberai pas en panne.
Je décolle donc sur la piste 34, et mets directement le cap au Nord. Je suis assez déçu de la modélisation de Bastia et de son port qui sont très sommaires. Je ne m'attarde donc pas pour admirer le paysage
Montée au Nord le long de la cote Est du cap Corse |
Et la descente au Sud le long de la cote Ouest |
Au large de Saint Florent |
Le désert des Agriates au loin lors de la descente du Cap Corse |
Une fois posé sur l'aéroport j'ai encore la mauvaise surprise de découvrir que le taxi menant au parking se limite à un simple bout de macadam s'achevant dans l'herbe.
En conclusion, je suis assez déçu de ce premier vol et de la scène Corse pour l'instant. Mais le tour ne fait que commencer...
Libellés :
Cessna C172,
Corse,
LFKB,
LFKC
Pays/territoire :
Aéroport de Calvi - Sainte-Catherine (CLY), 20260 Calvi, France
Thursday, August 18, 2011
PHASE II : Premier long trajet (suite)
Après une pause plus longue que prévue, je reprend mon vol à destination de Bastia Poretta (LFKB) à bord de mon Beech BE58.
J'ai la très bonne surprise de découvrir que le trafic IA vient animer un peu mon décollage. Tant mieux, ça rend l'environnement plus vivant.
Je décolle donc et reprend ma navigation où je l'avait laissé. Toujours impossible de maintenir la vitesse et l'ascension requises. Pourtant, je règle bien mon pas d'hélice pour être à 2500 tr/min... Cependant, le fait d'avoir allégé un peu mon appareil me fait gagner un peu et je parviens à voler à 140 nœuds. Mais j'ai toujours l'impression que quelque chose m'a échappé...
Concernant la navigation, je découvre sur mon carnet de vol que les deux étapes suivantes ne sont pas des VOR mais des NDB. Ceci est une très bonne chose, ça me fait un sujet d'étude de plus.
Finalement, j'arrive sans encombre à destination et je m'aligne pour une approche directe sur l'aéroport.
Je pose rapidement mon appareil, rejoins le parking et l'immobilise une dernière fois. En effet, la prochaine étape va consister à visiter la Corse et un appareil plus léger conviendra mieux. Je pense d'ailleurs revenir au Cessna C172 car j'ai découvert sur ce site (ajouté également dans mes liens, colonne de gauche de ce Blog) des check-lists plus complètes avec lesquelles je compte bien me familiariser.
J'ai la très bonne surprise de découvrir que le trafic IA vient animer un peu mon décollage. Tant mieux, ça rend l'environnement plus vivant.
Au roulage derrière un jet privé. |
Le temps de laisser la priorité à un atterrissage et c'est parti. |
Concernant la navigation, je découvre sur mon carnet de vol que les deux étapes suivantes ne sont pas des VOR mais des NDB. Ceci est une très bonne chose, ça me fait un sujet d'étude de plus.
Finalement, j'arrive sans encombre à destination et je m'aligne pour une approche directe sur l'aéroport.
Je pose rapidement mon appareil, rejoins le parking et l'immobilise une dernière fois. En effet, la prochaine étape va consister à visiter la Corse et un appareil plus léger conviendra mieux. Je pense d'ailleurs revenir au Cessna C172 car j'ai découvert sur ce site (ajouté également dans mes liens, colonne de gauche de ce Blog) des check-lists plus complètes avec lesquelles je compte bien me familiariser.
Tuesday, August 16, 2011
INSTALLATION DE SCENES
Avant de reprendre les airs pour visiter la Corse j'ai installé une scène améliorée pour cette région. La encore, la manipulation est assez étrange. Des explications s'imposent.
Dans le cas de la Corse, par exemple, deux répertoires sont créés : "FlightCorseBP_LC" et "FlightCorseBP_SC".
Petite précision: la scène Corse a été achetée chez France VFR, où vous pourrez la trouver ainsi que d'autres magnifiques scènes.
- Décompressez votre nouvelle scène dans le répertoire "\Flight Simulator X\Addon Scenery".
Dans le cas de la Corse, par exemple, deux répertoires sont créés : "FlightCorseBP_LC" et "FlightCorseBP_SC".
- Lancez FSX et rendez-vous dans l'onglet "SETTINGS" puis, dans la colonne "Autres paramètres", cliquez sur "Bibliothèque de décors..."
- Une fenêtre s'ouvre avec une liste de scènes classées par ordre décroissant de priorité. Cliquez sur "Ajouter une zone...".
- Une fenêtre s'ouvre pour que vous indiquiez le chemin où se trouve la scène à ajouter. Allez sur le répertoire "\Flight Simulator X\Addon Scenery\FlightCorseBP_LC". Vous verrez alors le sous-répertoire "scenery".
- Cliquez sur "Ok". Jusque là tout est normal, mais...
- Cliquez maintenant dans la zone de l'explorateur comme sur la photo ci-dessous. Alors seulement, la fenêtre va se fermer et vous verrez apparaître votre scène dans la liste des priorités. Vérifiez juste qu'elle soit bien active et c'est fini.
Petite précision: la scène Corse a été achetée chez France VFR, où vous pourrez la trouver ainsi que d'autres magnifiques scènes.
Monday, August 15, 2011
PHASE II : Premier long trajet
Aujourd'hui, je poursuis dans ma progression. Je planifie un vol à vue de VOR à VOR de Chaumont Semoutiers (LFJA) à Bastia Poretta (LFKB). Je continue à bord de mon Beechcraft Baron BE58 afin de poursuivre mon apprentissage.
Les check-lists déroulent maintenant sans problèmes. Je règle les fréquences de mes deux premières balises VOR afin de passer rapidement de l'une à l'autre une fois en vol.
Je décolle et prend rapidement le bon cap. Afin de faciliter la procédure radio, je demande un vol contrôlé à la tour de Reims.
La première difficulté de présente rapidement. Alors que je tente de gagner les 17500 pieds préconisés par le plan de vol, je n'arrive pas à régler mon moteur pour maintenir les 136 nœuds d'ascension de croisière. J'ai beau agrandir ou réduire le pas d'hélice, appauvrir le mélange ou l'enrichir, rien ne fait et je me traine laborieusement à 120 nœuds pour une altitude de 14000 pieds... Preuve qu'il me reste beaucoup de progrès à faire.
Le temps de faire tout mes réglages et me voici déjà bien engagé dans la vallée du Rhône et je peux même apercevoir le mon blanc sur ma gauche. Malheureusement, pas question d'aller y faire un détour. Le trajet est déjà suffisamment long comme ça.
Peut-être aurais-je dû également me pencher sur l'emport de carburant. Car, depuis le début, je fais mes vols à plein or cette masse supplémentaire est peut-être à l'origine de mes difficultés. Je m'en occuperai avant prochain vol. Je vais également revoir les recommandations concernant le BE58.
Pris par le temps (réel cette fois) et soucieux d'alléger mon appareil, je décide d'effectuer une halte. L'aéroport le plus proche est Grenoble Saint Geoirs ('LFKS) aussi je décide de me dérouter et d'y atterrir. Je contact la tour de Marseille pour annuler mes intentions de vol et celle de Grenoble pour m'annoncer. Cette dernière m'invite à me présenter directement sur la piste. Les joies du trafic allégé...
Le temps de descendre et de perdre de la vitesse et je m'aligne pour la finale.
Une dernière fois les check-lists pour l'atterrissage, le roulage et l'immobilisation de l'engin et c'est fini pour aujourd'hui.
Les check-lists déroulent maintenant sans problèmes. Je règle les fréquences de mes deux premières balises VOR afin de passer rapidement de l'une à l'autre une fois en vol.
Je décolle et prend rapidement le bon cap. Afin de faciliter la procédure radio, je demande un vol contrôlé à la tour de Reims.
La première difficulté de présente rapidement. Alors que je tente de gagner les 17500 pieds préconisés par le plan de vol, je n'arrive pas à régler mon moteur pour maintenir les 136 nœuds d'ascension de croisière. J'ai beau agrandir ou réduire le pas d'hélice, appauvrir le mélange ou l'enrichir, rien ne fait et je me traine laborieusement à 120 nœuds pour une altitude de 14000 pieds... Preuve qu'il me reste beaucoup de progrès à faire.
Le temps de faire tout mes réglages et me voici déjà bien engagé dans la vallée du Rhône et je peux même apercevoir le mon blanc sur ma gauche. Malheureusement, pas question d'aller y faire un détour. Le trajet est déjà suffisamment long comme ça.
Peut-être aurais-je dû également me pencher sur l'emport de carburant. Car, depuis le début, je fais mes vols à plein or cette masse supplémentaire est peut-être à l'origine de mes difficultés. Je m'en occuperai avant prochain vol. Je vais également revoir les recommandations concernant le BE58.
Pris par le temps (réel cette fois) et soucieux d'alléger mon appareil, je décide d'effectuer une halte. L'aéroport le plus proche est Grenoble Saint Geoirs ('LFKS) aussi je décide de me dérouter et d'y atterrir. Je contact la tour de Marseille pour annuler mes intentions de vol et celle de Grenoble pour m'annoncer. Cette dernière m'invite à me présenter directement sur la piste. Les joies du trafic allégé...
Le temps de descendre et de perdre de la vitesse et je m'aligne pour la finale.
Une dernière fois les check-lists pour l'atterrissage, le roulage et l'immobilisation de l'engin et c'est fini pour aujourd'hui.
Sunday, August 14, 2011
PHASE II : suite
L'un des avantages du Be58 est qu'il vole plus vite que le Cessna, ce qui m'ouvre de nouveaux horizons. Cette fois j'opte pour une navigation VOR à VOR entre Paris Le Bourget (LFPB) et Chaumont Semoutiers (LFJA). Connaissant pas mal la région, je suis curieux de voir comment elle a été modélisée.
Je m'initie donc au fonctionnement du système VOR, qui est en fait très simple. Puis je génère mon plan de vol avec l'utilitaire de FSX. Une seule balise est nécessaire pour me rendre à destination.
A nouveau je démarre à 08h00 du matin pour une séance d'environ 1 heure. Les moteurs sont arrêtés et je pars du parking. Je déroule les check-lists sans aucune difficulté et j'y intègre le réglage de ma balise VOR.
Après avoir pris mes marques sur ce nouveau moyen de navigation, j'arrive sans encombre à la balise puis à l'aéroport de destination.
Malheureusement, cette partie de la France n'est pas du tout modélisée et ce qui est réellement une ancienne base aérienne n'est plus qu'une petite piste non contrôlée perdue dans la campagne. Or il existe bel et bien un petit aérodrome avec une tour de contrôle... C'est dommage.
Je m'initie donc au fonctionnement du système VOR, qui est en fait très simple. Puis je génère mon plan de vol avec l'utilitaire de FSX. Une seule balise est nécessaire pour me rendre à destination.
A nouveau je démarre à 08h00 du matin pour une séance d'environ 1 heure. Les moteurs sont arrêtés et je pars du parking. Je déroule les check-lists sans aucune difficulté et j'y intègre le réglage de ma balise VOR.
Après avoir pris mes marques sur ce nouveau moyen de navigation, j'arrive sans encombre à la balise puis à l'aéroport de destination.
Malheureusement, cette partie de la France n'est pas du tout modélisée et ce qui est réellement une ancienne base aérienne n'est plus qu'une petite piste non contrôlée perdue dans la campagne. Or il existe bel et bien un petit aérodrome avec une tour de contrôle... C'est dommage.
PHASE II : Familiarisation
Aujourd'hui je passe à l'étape supérieure : je change d'appareil. J'abandonne le Cessna C172 pour un Baron Beechcraft BE58. Cet avion est un bi-moteur ce qui va représenter un nouveau défi et surtout une nouvelle expérience.
J'ai imprimé à nouveau les références et check-lists et c'est parti pour deux séances de tour de piste toujours au Bourget (LFPB). Je pars bien-sûr moteurs arrêtés, stationné sur le parking et je me retrouverai dans cette même configuration en fin de vol.
La mécanique est bien plus complexe. Il faut gérer en plus le pas de l'hélice et la richesse du mélange sans parler des divers autres organes venant se greffer sur un bi-moteur.
A la fin de la journée, je ne suis pas mécontent de ma progression et je décide de partir pour une nouvelle navigation le lendemain.
J'ai imprimé à nouveau les références et check-lists et c'est parti pour deux séances de tour de piste toujours au Bourget (LFPB). Je pars bien-sûr moteurs arrêtés, stationné sur le parking et je me retrouverai dans cette même configuration en fin de vol.
La mécanique est bien plus complexe. Il faut gérer en plus le pas de l'hélice et la richesse du mélange sans parler des divers autres organes venant se greffer sur un bi-moteur.
A la fin de la journée, je ne suis pas mécontent de ma progression et je décide de partir pour une nouvelle navigation le lendemain.
Friday, August 12, 2011
PHASE I (toujours)
Aujourd'hui nouvelle navigation à vue : départ de Rouen Vallée de Seine (LFOP) pour rejoindre le mythique aéroport du Bourget (LFPB) toujours à bord de mon fidèle Cessna C172.
Cette fois le plan de vol est créé avec l'utilitaire fourni qui me donnera un simple cap à suivre.
Ce vol est l'occasion de retravailler les check-lists et la procédure radio. Le décollage s'effectue à 10h00 et l'atterrissage 36 minutes plus tard sans encombres.
Une fois arrivé en visuel de l'aéroport, je comprend mieux pourquoi lors des meetings du salon on nous précise sans cesse que le volume de vol des avions est très restreint: l'aéroport de Roissy Charles de Gaulle est vraiment tout proche. Heureusement, mon trafic virtuel est bien moins dense que le réel et les contrôleurs aériens bien plus souples.
D'ailleurs, il est bien triste cet aéroport hors salon, sans les avions et la foule...
Cette fois le plan de vol est créé avec l'utilitaire fourni qui me donnera un simple cap à suivre.
Ce vol est l'occasion de retravailler les check-lists et la procédure radio. Le décollage s'effectue à 10h00 et l'atterrissage 36 minutes plus tard sans encombres.
Une fois arrivé en visuel de l'aéroport, je comprend mieux pourquoi lors des meetings du salon on nous précise sans cesse que le volume de vol des avions est très restreint: l'aéroport de Roissy Charles de Gaulle est vraiment tout proche. Heureusement, mon trafic virtuel est bien moins dense que le réel et les contrôleurs aériens bien plus souples.
D'ailleurs, il est bien triste cet aéroport hors salon, sans les avions et la foule...
Libellés :
Cessna C172,
LFOP,
LFPB
Pays/territoire :
Aéroport Paris-Le Bourget (LBG), Paris, France
Tuesday, August 9, 2011
PHASE I (suite)
Je suis bien arrivé à Rouen Vallée de Seine (LFOP) après un vol court mais riche en leçons.
Le décollage a été précédé du déroulé des check-lists adéquates et la procédure radio a été suivie tant bien que mal.
De toute façon, il n'y a pas de Gendarmerie de l'air virtuelle
En revanche, on regrettera qu'il n'existe pas de scène photo-réaliste de ma chère Normandie natale.
Le décollage a été précédé du déroulé des check-lists adéquates et la procédure radio a été suivie tant bien que mal.
De toute façon, il n'y a pas de Gendarmerie de l'air virtuelle
En revanche, on regrettera qu'il n'existe pas de scène photo-réaliste de ma chère Normandie natale.
Libellés :
LFOP
Pays/territoire :
Aéroport de Rouen - Vallée de Seine (URO), 76520 Rouen, France
PHASE I : Découverte
Aujourd'hui est un grand jour: après avoir bidouiller avec quelques missions je viens de m'auto-attribuer ma licence de pilote virtuel sous FSX.
En clair, j'ai enfin réussi à installer le produit, ses patchs et à le configurer pour que ça fonctionne
Le but premier de ce vol sera de se familiariser avec le cockpit et les check-lists afin d'être en mesure de partir moteur arrêté. Pour cela, j'ai imprimé les fichiers .html qui se trouvent dans .\Flight Simulator X\SimObjects\Airplanes\"nom de l'avion". Ceux-ci sont de deux types: les check-lists proprement dites d'une part et les références d'autre part qui donnent les différentes vitesses à adopter. Je ferai dorénavant cela avant de prendre sérieusement en main un avion.
Je pars donc pour ma première navigation VFR entre Le Havre Octeville (LFOH) et Rouen Vallée de Seine (LFOP). Deux aéroports que je connais très bien. Pas de prise de tête pour le plan de vol, je longerai la Seine jusqu'à destination.
Mon premier avion sera le bon vieux Cessna C172, avion des débuts par excellence en simulation.
Le décollage est prévu à 10h30 pour un vol d'environ 1/2 heure. De quoi débuter en douceur...
En clair, j'ai enfin réussi à installer le produit, ses patchs et à le configurer pour que ça fonctionne
Le but premier de ce vol sera de se familiariser avec le cockpit et les check-lists afin d'être en mesure de partir moteur arrêté. Pour cela, j'ai imprimé les fichiers .html qui se trouvent dans .\Flight Simulator X\SimObjects\Airplanes\"nom de l'avion". Ceux-ci sont de deux types: les check-lists proprement dites d'une part et les références d'autre part qui donnent les différentes vitesses à adopter. Je ferai dorénavant cela avant de prendre sérieusement en main un avion.
Je pars donc pour ma première navigation VFR entre Le Havre Octeville (LFOH) et Rouen Vallée de Seine (LFOP). Deux aéroports que je connais très bien. Pas de prise de tête pour le plan de vol, je longerai la Seine jusqu'à destination.
Mon premier avion sera le bon vieux Cessna C172, avion des débuts par excellence en simulation.
Le décollage est prévu à 10h30 pour un vol d'environ 1/2 heure. De quoi débuter en douceur...
Libellés :
Cessna C172,
LFOH,
LFOP
Pays/territoire :
Aéroport Le Havre - Octeville (LEH), 76620 Le Havre, France
Monday, August 8, 2011
PHASE 0: Installation
Si l'installation de FSX demande de la patience, sa configuration elle requiert quelques astuces qui ne s'inventent pas. Aussi, j’espère que les quelques lignes qui suivent pourront vous guider.
Première étape : installer la version de base de FSX. Deux DVD qui s'installent tout seul. Et là, une première astuce s'impose : ne pas l'installer dans le répertoire "Program Files (x86)" comme proposé mais dans un répertoire particulier. Sinon, vous ne serez bloqués pour installer des add-ons et modifier des fichiers.
Deuxième étape : installer le SP1. Disponible entre autre ici.
Troisième étape : installer l'Accélération Pack.
Jusque là, facile...
Vient ensuite la configuration et là, ça se corse.
Premièrement, il va falloir optimiser les réglages pour obtenir la meilleur qualité visuelle sans sacrifier la fluidité.
Pour cela il existe un site génial http://www.venetubo.com/fsx.html. Renseignez les champs concernant votre configuration, suivez les étapes et téléchargez le nouveau fichier fsx.cfg qu'il vous générera. Remplacez ensuite celui d'origine par celui que vous venez de récupérer.
Ensuite, il faut installer un petit utilitaire qui va limiter les FPS afin de libérer des ressources pour le simulateur. Vous pourrez le trouver sur ce site accompagné de toutes les explications nécessaires. Cela vous créera un fichier .bat lançant d'abord le limiteur puis FSX.
Enfin, une dernière astuce pour ceux qui ont un processeur multicœur.
N.B.: je n'ai testé la méthode qu'avec mon processeur 2 cœurs, la manipulation reste à confirmer pour ceux qui en possèdent plus.
Voilà, maintenant, vous devriez avoir un Flight Simuator X Acceleration qui fonctionne correctement.
Une dernière astuce concernant les réglages de réalismes valable si vous souhaitez pilotez les jets et principalement le F-18 : désactivez l'option Aircraft stress causes damage. Car elle n'est pas prévu pour de tels appareils.
Première étape : installer la version de base de FSX. Deux DVD qui s'installent tout seul. Et là, une première astuce s'impose : ne pas l'installer dans le répertoire "Program Files (x86)" comme proposé mais dans un répertoire particulier. Sinon, vous ne serez bloqués pour installer des add-ons et modifier des fichiers.
Deuxième étape : installer le SP1. Disponible entre autre ici.
Troisième étape : installer l'Accélération Pack.
Jusque là, facile...
Vient ensuite la configuration et là, ça se corse.
Premièrement, il va falloir optimiser les réglages pour obtenir la meilleur qualité visuelle sans sacrifier la fluidité.
Pour cela il existe un site génial http://www.venetubo.com/fsx.html. Renseignez les champs concernant votre configuration, suivez les étapes et téléchargez le nouveau fichier fsx.cfg qu'il vous générera. Remplacez ensuite celui d'origine par celui que vous venez de récupérer.
Ensuite, il faut installer un petit utilitaire qui va limiter les FPS afin de libérer des ressources pour le simulateur. Vous pourrez le trouver sur ce site accompagné de toutes les explications nécessaires. Cela vous créera un fichier .bat lançant d'abord le limiteur puis FSX.
Enfin, une dernière astuce pour ceux qui ont un processeur multicœur.
- Lancez FSX.
- faites ctrl+alt+suppr et ouvrez le Gestionnaire des Tâches.
- Trouvez le processus fsx.exe *32 et faites un clic droit dessus
- Cliquez sur Définir l'affinité...
- Désactivez le ou les premier(s) processeur(s) et faites Ok
- Faites à nouveau un clic droit sur le processus fsx.exe *32 et sur Définir l'affinité...
- Réactivez le ou les premier(s) processeur(s)
N.B.: je n'ai testé la méthode qu'avec mon processeur 2 cœurs, la manipulation reste à confirmer pour ceux qui en possèdent plus.
Voilà, maintenant, vous devriez avoir un Flight Simuator X Acceleration qui fonctionne correctement.
Une dernière astuce concernant les réglages de réalismes valable si vous souhaitez pilotez les jets et principalement le F-18 : désactivez l'option Aircraft stress causes damage. Car elle n'est pas prévu pour de tels appareils.
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